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  1. Maladie


     Selon le bien public les fléaux sont dans nos vignes mais personne ne pose la bonne question : Pourquoi :
    - Est-ce le système d’agriculture qui n’est pas bon ?
    - Est-ce le système immunitaire de la plante qui est trop fragile ou trop déséquilibré par les phytosanitaires ?.

    Vignes en agriculture biologique

    Je dis toujours que l’homme ressemble à la vigne. Le cancer, l’obésité et le diabète sont nos propres fléaux. Par exemple prenez une personne issue d’une descendance saine sans troubles médicaux. Vous ne la faites pas fumer, boire un verre de vin (naturel si possible) tous les jours, ne buvant pas de sodas ni accro aux fast-food ou autre junk food  et se nourrissant sainement avec des légumes bios frais.  Ajouté à cela de la marche et un peu de sport de temps en temps. Je suis persuadé qu’à 45 ans qu’il sera en pleine forme et toujours prêt à faire des avances coquines  dès la nuit tombé auprès de sa bien-aimée.

     Ensuite, Revenons à nos moutons, ou plutôt à nos vignes. C’est vrai cette année, même chez les bios, c’est une année difficile à petits rendements. Soyons philosophe, et lâchons prise : nous ne pouvons pas tout dominer et se dire que c’est la vie. Pour conclure, un jour j’achèterai des vignes….mais surtout pas des clonales !!!!!

    les chevaux d'Olivier Cousin

    Extrait du petit dico du vin naturel aux éditions le courrier du livre


    [ MALADIE ]
    la différence entre l’agriculture biologique
    et l’agriculture conventionnelle est la recherche
    de la cause du traumatisme. La maladie dépend d’un
    facteur extérieur (terroir affaibli, faune et flore déséquilibrées)
    qui désactive les défenses immunitaires
    de la plante. Et ce n’est pas en dopant de phytosanitaires
    que la maladie s’enraye, mais plutôt en galvanisant
    le terroir (peu de labour, pas de chimie,
    préparations biodynamiques à des jours définis) afin
    de donner force et vie à la plante.
    Cette définition s’applique à l’homme. Souffrant d’un
    mal de dos il y a quelques années, je suis allé voir un
    chiropracteur qui m’a remis sur pieds. Après la
    séance, mon estomac irrité ne me faisait plus mal.
    « La cause de votre mal de dos était le déplacement
    d’une vertèbre, celle-ci est reliée à un organe :
    l’estomac. », m’expliqua-t-il. Combien de personnes
    auraient pris des cachets pour soulager leurs maux
    d’estomac au lieu d’en chercher la raison ? Beaucoup,
    y compris moi.
    « Les méthodes "non conventionnelles de soin" s’appuient
    sur la notion de "terrain" et visent à renforcer
    les réactions naturelles de défense. Elles recourent
    volontiers au concept de rééquilibrage énergétique.
    Elles s’intéressent non seulement à l’organisme
    malade, mais surtout à l’être qui souffre. » Jean-
    Pierre Willem, chirurgien, fondateur de l'ONG internationale
    Médecins aux pieds nus et président de
    l'Association biologique internationale.

    Pour conclure :

    La maladie fait partie intégrale de notre vie. Il faut l’accepter. Mais cela ne veut pas dire que l’on doit être irresponsable et surtout être une zone à risque. Souvenez-vous du vieil adage : mieux vaut prévenir que guérir. Mais dans ce monde personnel, la guérison d’une maladie engendre plus de profits que la prévention.

    Jean-Charles Botte novembre 2012